Le groupe italien ENI en collaboration avec Petroci et la compagnie nationale découvre d’hydrocarbures, nommée “Calao” en Côte d’Ivoire

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    Situé à 45 kilomètres des côtes, cette trouvaille soutient l’ambition des autorités de développer le secteur des hydrocarbures.

    Avec une estimation de réserves entre 1 et 1,5 milliard de barils de pétrole, “Calao” se positionne comme la deuxième plus grande découverte d’hydrocarbures du pays, d’après Bienvenu Essé, le directeur général des hydrocarbures.

    C’est une avancée significative. Nous prévoyons d’exploiter pleinement le gisement, y compris le pétrole et le gaz naturel, essentiels tant pour la production électrique que pour les besoins industriels. Le pétrole, en particulier, sera produit et éventuellement exporté en fonction des demandes du marché.
    Bienvenu Essé
    Le directeur général des hydrocarbures.
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    Des emplois en Côte d'Ivoire
    Des emplois en Côte d’Ivoire.

    De nouveaux emploi d’ici 2026

    Cette exploitation est attendue pour générer d’importantes recettes pour l’État, avec une projection de plus de la moitié des profits issus du gisement, et stimuler l’emploi avec 1 500 postes directs permanents et 7 000 emplois indirects.

    Les autorités anticipent également que cette découverte encouragera de nouveaux investissements dans le secteur.

    Cette trouvaille confirme le potentiel avéré de notre bassin. Après une découverte majeure en 2021, ‘Calao’ renforce cette perspective. La stabilité socio-politique du pays et son attrait pour les affaires, combinés à un environnement réglementaire et législatif favorable, devraient inciter davantage de partenariats pour l’exploration pétrolière.
    Bienvenu Essé
    Le directeur général des hydrocarbures.
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    L’appel est ainsi lancé vers les investisseurs intéressés par le potentiel pétrolier ivoirien.

    Parmi 50 blocs disponibles, 29 restent à attribuer. Les autorités envisagent de démarrer l’exploitation de “Calao” d’ici 2026.

    Toutefois, selon l’Agence internationale de l’énergie, l’accent mis sur les énergies renouvelables suggère qu’aucun nouveau grand projet d’extraction n’est nécessaire à l’échelle mondiale, soulignant l’importance d’investissements annuels de 4,550 milliards de dollars pour la transition énergétique d’ici 2030.

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